Tout chrétien de l’Eglise Evangélique du Rite Africain et toute personne qui sera intéressée devront lire attentivement cette histoire à laquelle peut être ajoutée la réalité vue et non les « on dit » ainsi que le langage des pères spirituels de l’Eglise Evangélique du Rite Africain, citons son Initiateur feu Mgr Patriarche PALUKU KALWAGHE, feu Mgr Patriarche WASINGYA KALWAGHE et son actuel Mgr Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué.
Cette histoire nous aidera à connaitre un peu plus de la vie du Mgr Patriarche PALUKU KALWAGHE, initiateur de l’E.E.R.A, de sa conception pour fonder cette Eglise en 1976. Elle nous parlera aussi de la vie de Mgr Patriarche WASINGYA KALWAGHE et EL SHAMIR KALWAGHE respectivement deuxième et troisième représentent légal de L’E.E.R.A
Dans le but d′aider les chercheurs de comprendre l’Eglise Evangélique du Rite Africain, nous parlerons du sentier qu’a traversé l’E.E.R.A, de l’ombrage protestantisme, l’enveloppe CEBA et de l’implantation de l’E.E.R.A. L’EERA est une église fondée par un Africain, visionnaire pour la transformation du monde par l′Evangile.
Que Dieu vous comble de la sagesse et vous inspire la puissance du Saint-Esprit.
(Un grand chemin inimaginable après l’Europe)
Le 08 mars 1987, Pasteur PALUKU KALWAGHE arrive dans son village natal où une paroisse de 16.850 adultes baptisés et fidèles l’attendaient. Tout commença très bien avec les paroissiens et n’attardèrent pas à s’intéresser à l’ouverture œcuménique qu’ il leur démontrait et les initier à s’y appliquer pour vaincre à jamais ce que les supérieurs qualifiaient de leur acquit conservateurs et fondamentaux inébranlables.
Le Pasteur PALUKU KALWAGHE va rencontrer des difficultés dans son service en 1988, et sera limogé de la C.B.K (CBCA) en 1989. Ainsi, beaucoup de chrétiens qui suivaient l’évolution de l’affaire, se sont aussi sentis obligés d’attendre jusqu’à ce que leur gardien, le serviteur de Dieu Pasteur PALUKU KALWAGHE, reprenne ses fonctions.
En dispersant les fidèles, les dirigeants de la C.B.K(CBCA) pensaient qu’ils punissaient les gens avec leur pauvre pasteur PALUKU KALWAGHE. Avant que ce dernier ne fusse limogé de la C.B.K, la hiérarchie de la communauté voulait le muter à Goma. Les chrétiens ayant constaté que cette mutation serait due au fait que le Pasteur PALUKU KALWAGHE ne tardait pas de dire toute vérité à ses fidèles ; et amoureux du développement qu’il était, au lieu de les laisser bouffer les dons clandestinement(pour le développement de l’Eglise et pour réconforter les vulnérables ; les lépreux…) chaque fois qu’il y en avait, il avertissait directement le service concerné de pouvoir bien gérer pour qu’il n’y eût plus de détournement. Suite a sa bonne volonté et justice il fut préféré de tous ceux qui aimaient la lumière, surtout les chrétiens de sa paroisse car, il aimait le travail en équipe. C’est de cette façon que la mutation avorta, car les fidèles de sa paroisse ne voulaient pas qu’il fut ainsi séparé prématurément d’eux. Aussi les fideles estimaient que peut-être ses supérieurs avaient constaté qu’il serait plus glorieux qu’eux. Ces gens conçurent une idée de fermer le temple dans le but de vouloir décourager les fideles a renoncer leur soutien a ce pasteur. Les fidèles, Ayant trouvé que la fermeture du temple était un problème sérieux, ils constituèrent une délégation qui est été allée supplier le Révérend Pasteur KAKULE MOLO ; Représentant légal de la communauté (CBK), signataire de la lettre de fermeture du temple de KATWA, de suspendre toutes les activités à part les cultes dominicaux simples. La délégation était rentrée avec une réponse négative.
Le jour de la lecture de la lettre de la fermeture du temple, plusieurs personnes encore en vie étaient pressent , le pauvre Pasteur PALUKU KALWAGHE a pris une gourde remplie d’eau et a commencé à se laver les mains en disant : « j’était en Italie chez le Pape Jean Paul II, quand on a fait appel à moi. Je ne savais pas comme quoi, il y avait un feu qui brûlait si haut. Je ne sais même pas comment ce feu a été allumé au sein de la communauté. Je me lave les mains devant Dieu que je sers et devant vous chrétiens comme signe que je suis innocent de cet acte que viennent de poser les autorités ecclésiastiques et du sang qui coulera à cause de cela ». Les gens racontaient au village qu’il y avait certaines gens qui qualifiaient le Pasteur PALUKU KALWAGHE de fou pour s’être lavé les mains au temple. Mais, ce que plusieurs personnes ont vu dans leurs propres yeux est que les mamans et les papas se sont mis à pleurnicher après la lecture de la dite lettre et l’acte qu’a posé leur pasteur (se laver les mains).
C’était alors un certain vendredi du 11 novembre 1988 que le Révérend Pasteur KAKULE MOLO, Représentant légal de la C.B.K (CBCA) arriva à Katwa le soir. C’était quand le commissaire de zone de Lubero tenait un meetimg avec les habitants de Katwa devant le bureau de l’école primaire d’application/Katwa qui est juste à côté du temple que le représentant avait fermé. Le commissaire avait précédé le représentant pour tenter de calmer la tension des fideles. De son arriver, les fideles de KATWA lui avaient réservé un accueil chaleureux au point même de vouloir soulever la voiture qui le transportait suite a leur soif d’écouter la cause de la fermeture du temple. (Le musicien NDAKALA de BUTEMBO avait chanté que “c’est, normalement la boutique qu’on ferme quand on manque les frais de loyer mais pas le temple de Dieu”). Ainsi, on leur avait promit le lendemain, c’est-à-dire samedi le 12 novembre 1988 matin, car il faisait déjà sombre.
le 12 novembre 1988, les chrétiens se réveillèrent au bon matin, très contents, ayant pensé que leur temple serait ouvert. Ainsi, tous à côté du temple, chantaient en dansant c’était la première fois que nous avions vu les chrétiens protestants se trémousser de la sorte car ils exprimaient leur joie. Voici quelques titres des cantiques que l’on chantait :
Beaucoup d’autres chansons étaient chantées quand les écoliers et élèves des écoles proches de la paroisse de la CBK étaient encore dans les salles de classes alors qu’ils avaient soif d’aller participer à cette grande manifestation de joie. Pendant que ces chrétiens chantaient à côté du temple de Katwa, les militaires armés jusqu’aux dents les entourèrent. Le Représentant légal, ses membres exécutifs et ses Pasteurs s’étaient réunis dans la salle de l’institut Biblique de Katwa pour une réunion. Comme résultats de cette réunion, le Révérend Pasteur LYAKUNA, accompagné de ses collègues de service, étaient venu avec le marteau voulant ouvrir les portes du temple. Quelqu’un peut se demander pourquoi l’intervention du marteau alors qu’il fallait peut-être la clé pour ouvrir le temple. C’est-à-dire, certains de jeunes gens de Katwa, ayant vu que le temple était déjà bloqué et que les clefs seraient envoyés à Goma chez le Représentant légal , eux- aussi, après concertation, ont ajouté en bloquant avec des clous.
Les chrétiens s’y opposèrent en disant : « avant d’ouvrir notre beau temple, nous serions contents d’entendre d’abord la raison qui vous avait poussés à le fermer ».Les autorités ecclésiastiques ayant trouvé qu’il était difficile de pouvoir ouvrir leur fameux temple, elles décidèrent de rentrer dans la salle de réunion où ils trouvèrent que la présence du visionnaire Pasteur PALUKU KALWAGHE serait de rigueur. Ainsi on envoya chez lui le Chef de localité KIKENE MUNZOMBO à la tête d’une délégation de la CBK(CBCA). Lorsque ce visionnaire, avait prié que la volonté de Dieu soit faite, n’a pas résisté à ce mandat d’amener non précédé d’aucune invitation. Attendu impatiemment, à son arrivée, il est accueilli par des tortures et des paroles d’humiliation.
Les résultats de cette deuxième réunion : tout à coup, un renfort des militaires arriva ; et sans plus tarder, les soldats commencèrent à pousser les fidèles moyennant leur fusils. Un coup de grenade lacrymogène, lancé d’abord par le capitaine, pour faire voir leur colère, les supérieurs ecclésiastiques ont autorisé le bataillon de militaires armés jusqu’aux dents à tirer sur les chrétiens à la place du temple, qui ne pensaient qu’à une pure et simple intimidation alors que c’était sérieux. (ces coup des balles furent les premières d’être entendue dans la région).
Comme dit la Bible, Jésus Christ avait prévenu ses disciples qu’ils seraient aussi haïs et persécutés dans le monde a cause de son nom. Surpris de voir des blessés et mort, les fideles et autres personnes se mirent a fuir dans différentes directions.
C’est avec grande consternation que l’ on avait appris la mort immédiate de MOISE KALINDERA et de KATAKILI qui ont trouver la mort devant le temple de la C.B.K/Katwa par les militaires engagés par les soit disant serviteurs de Dieu qui ne cessaient de prêcher l’amour de Dieu et l’amour du prochain, le pardons mutuel, et j’en pense. Hypocrites qu’ils étaient, avec des grosses Bibles aux aisselles chaque matin, gonflés dans des costumes, soufflant des chansons là douces ! Les hommes à la démarche calme, qui ne cessaient de saluer les gens avec un ton – là bien adouci ! Cadeau empoisonné. Avec 5 blessés grièvement et tant d’autres non identifiés. Le pasteur PALUKU KALWAGHE bien ligoté, torturé et pendu pendant 6 heures du temps par ordre des supérieures de la CBK, pendant que les pauvres chrétiens s’étaient déjà dispersés. Sauve qui peut.
Jusqu’aujourd’hui, les fidèles de l’E.E.R.A restent très reconnaissant de l’acte qu’a posé son Excellence Feu Monseigneur Archevêque KATALIKO, Evêque du diocèse de Butembo-Beni de l’Eglise Catholique que Dieu avait utilisé pour visiter le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE (son secours a ce visionnaire de le libéré où il était pendu).
Cela n’a pas suffi, le homme de Dieu PALUKU KALWAGHE avait alors été jeté en prison de MUNZENZE à Goma (prison central de Goma) pendant 175 jours. Les chrétiens de Katwa n’ont pas manqué de se réunir clandestinement pour la prière parce que l’Etat du moment, corrompu qu’il était, n’a pas cessé de menacer ces pauvre chrétiens. D’ailleurs le village de KATWA et ses environs avaient été déserté soit vidé de la population pendant plus de 4 mois. Il n’était occupé que par les militaires qui gardaient les pasteurs là “trop chrétiens” et leurs fidèles. 175 jours passés, le visionnaire en prison, pour la plupart des fidèles, c’était plus de 10 ans mêmes, quand il envoyait des versets bibliques de consolation. Il est à noter que le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE était emprisonné avec d’autres chrétiens qui avaient été attrapés après fusillade. Merci à tous ceux qui intervenaient de près ou de loin pour la restauration de tous ces prisonniers jusqu’à leur libération. Merci à tout le monde qui a prié sans cesse jusqu’à l’intervention du Maréchal Président du Zaïre pour la libération du visionnaire PALUKU KALWAGHE dans sa lettre du 03 novembre 1989.
Après sa libération, il fut hébergé par le serviteur de Dieu, Monseigneur EMMANUEL KATALIKO Evêque du Diocèse BUTEMBO-BENI de l’Eglise Catholique. Après son arrivée à KATWA, les chrétiens avaient commencé à se réunir hebdomadairement ici et là pour louer grandement Dieu Tout-puissant, en plein air. Monsieur PALUKU MUKELEGHE a cédé un terrain où l’on pourrait prier provisoirement chaque dimanche ou en cas de nécessité. Ainsi l’Heros PALUKU KALWAGHE aussi commença à sortir pour aller y prêcher la Bonne nouvelle de réconfort.
Dieu répond toujours aux prières que nous lui adressons avec foi, il fortifie toujours le cœur de ceux qui s’attachent à Lui. Le fait que ce serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE avait quitté la prison, malgré la corruption incessante qui y était envoyée par les “ces dirigeants”. La parole de Dieu était reçue et crue par beaucoup de personnes ; même les incrédules étaient convertis ayant vu que le Dieu de PALUKU KALWAGHE était le vrai Dieu qui exauce la prière. Comme Saul mettait toute l’énergie de sa nature à persécuter les chrétiens à Jérusalem, voire poursuivre les chrétiens dans les villes étrangères ; de même la CBK(CBCA) poursuivait les chrétiens qui ne voulaient plus en être membre ; sa haine contre eux s’accroissait et son animosité contre PALUKU KALWAGHE et son désir de le faire disparaître de la terre, elle résolut de poursuivre les gens qui étaient fidèles à PALUKU KALWAGHE partout où ils pouvaient se trouver, même dans des villages un peu éloignés de katwa. C’est ainsi qu’elle sema des troubles à Luotu le 22 mars 1992 en y enlevant 6 hommes. Les hommes et les femmes de Luotu n’ont pas toléré les bêtises de ces gens. Ils sont descendus sans tarder, à Katwa où ils revendiquèrent leurs droits de vivre en paix. Montés qu’ils étaient, ils ont détruit certains objets à la Paroisse de la C.B.K/Katwa où ils ont cherché leurs gens portés disparus. Les manquant à Katwa, ils sont descendus tout droit en cité de BUTEMBO (actuelle ville de BUTEMBO) où ils furent empêchés de continuer la recherche de leurs hommes.
le 23 mars 1991, La C.B.K(CBCA), courageuse qu’elle était dans ce domaine n’avait pas à son tour, traîné à engager ses soldats pour la revanche. Ces militaires étaient très nombreux, les uns étaient restés à côté du temple, les autres dans les salles du Lycée Utamaduni et dans tous les sentiers de la concession paroissiale. Les autorités scolaires se sont sentis dans l’obligation de remettre les élèves et écoliers à la maison avant que la situation ne soit pire. Ayant vu encore les militaires très nombreux dans la concession paroissiale, les chrétiens de KATWA avaient averti leur pasteur bienaimé qu’il avait fallu qu’il se déplace car ils ne savaient pas ce qui était leur objectif. Ayant toujours confiance à son Dieu, le visionnaire PALUKU KALWAGHE resta à son domicile ainsi que toute sa famille. Cette fois – ci, les hommes du village s’organisèrent de garder la clôture de leur pasteur innocent de peur qu’on ne vînt détruire sa maison. Exactement, cette nuit – là, les militaires venaient, voulant enlever le Pasteur serviteur de Dieu. Surpris par les hommes qui devraient leur signifier qu’ils n’étaient pas endormis, les soldats bien armes ont reculé car ils avaient peur des coups des cailloux qui leur étaient jetés.
Eux qui pensaient qu’ils feraient de cet homme de Dieu porté disparu, voilà que leur démarche avait accouché une souris. Mais, puisque Satan est toujours actif pour faire le mal, et surtout qu’il ne se décourage jamais malgré la défaite, il chercha d’autres moyens. La ruse et la violence sont ses deux moyens qu’il emploie. Il est menteur et meurtrier dès le commencement, nous dit Jean 8 :14, et il trouve le méchant cœur des hommes toujours prêt à accomplir ses desseins. Il cherche à garder les hommes sous sa puissance, mais quand ils lui ont échappé en croyant à l’Evangile, il s’efforce par ses ruses de les faire tomber dans le mal, ou bien il pousse les hommes méchants à persécuter les saints et à les faires mourir.
Ainsi on amena tout de suite un renfort des militaires, les uns venant de la vallée et d’autres de la colline pour bien attraper le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE et tous ceux qui les empêchaient de pénétrer sa maison. Ces mêmes supérieurs de la CBK avaient ordonnés aux militaires de tirer sur le domicile et toute sa famille, sa femme et ses 7 enfants. Les militaires, dans la maison, demandèrent à Madame KALWAGHE où serait son mari. Maman ne voulant pas répondre, elle fut battue sérieusement ; mais elle n’avait rien dit de son mari. C’était alors au serviteur de Dieu de crier tout haut à son épouse : « Dis leur que je suis ici ». Il était encore dans sa chambre à coucher malgré les coups de balles tirés. Ainsi, les militaires écoutant sa voix, poussèrent Maman hors de la porte et entrèrent. Ayant vu l’homme de Dieu PALUKU KALWAGHE, habillé de sa toge noire, ils se jetèrent sur lui et le frappèrent plus qu’un brigand. La toge qu’il portait avait été fendue par un de ces agresseurs qui pensait déjà lui avoir percé le cœur.
Avec tous ces coups des balles, très innombrables, tout le monde savait déjà que PALUKU KALWAGHE serait déjà mort. Même son épouse ne pensait plus qu’il puisse encore respirer d’après les coups de frappe qu’il avait reçus. Mais Dieu veillant sur son fidèle serviteur ; il lui avait donner un témoignage public qu’il était avec lui. Bilan : deux morts : Paul MUPISHI KYANAMIRE et KISASA, maison brûlées et dégâts matériels inestimables. Cela nous a rappelé les 2 cassettes qu’avait déjà enregistrées le Pasteur KALWAGHE respectivement, comme thèmes :
Nous dirons que la prophétie du premier volume de l’homme de Dieu PALUKU KALWAGHE s’était accomplie. En plus ceux qui avaient brûlé les maison et tué les gens pendant le 2e trouble de KATWA se sont déjà dénoncés après avoir rejoint leur Communauté Baptiste au Kivu. En fin de compte, nous trouvons que Dieu accomplit sa promesse quand il nous confirme que c’est à lui la vengeance. Poursuivant leur sale besogne, le serviteur de Dieu fut encore jeté en prison de MUNZENZE à Goma et Il fut libéré par l’intervention de monsieur le gouverneur de la région du Nord – Kivu en date officielle du 17 janvier 1992. Rappelons que sa libération provisoire avait eu lieu au mois de Décembre avant Noël. Le gouverneur KALUMBO MBOGHO, le Révérend Pasteur KAKULE MOLO et le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE étaient venus de Goma à BUTEMBO au bord d’un hélicoptère. Un accueil très chaleureux leur avaient été réservé d’abord à l’aérodrome de Rughenda, au stade Matokeo, à la paroisse de la C.B.K/Katwa et au stade de football de KATWA où ils avaient, chacun, parlé au public.
Cependant en voici l’essentiel :
Ce fut la fin de la peur de prison. Les chrétiens qui ont décidé laisser la C.B.K aux siens continuèrent à prier dans la brousse où ils attendaient le soleil soit la pluie pendant les cérémonies. cette période fut appelle “catacombe”. Aussi le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE continua à y prêcher l’Evangile de réconfort.
Tous ces fidèles et les autres torturés de toute sorte n’avaient plus où aller pour adorer le Seigneur suite aux intempéries. C’est ainsi que la plus haute obligation se fit senti au serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE de leur ouvrir une Eglise qui peut traduire leur joie et apaiser leur misère dans le langage, les décors, l’ambiance, l’agir de l’être africain… d’où la naissance de l’Eglise Evangélique du Rite Africain. Après certains mois, le pasteur PALUKU KALWAGHE effectue un voyage à Lubumbashi pour visiter l’Evêque – fondateur de la C.E.B.A, Monseigneur KABWE KALEZA.
En son arriva à KATWA au titre de « AUXILIAIRE EPISCOPAL » ou « VICAIRE GENERAL » et Représentant régional de la C.E.B.A ; alors NZAYI fut promu Délégué Episcopal. Le Vicaire Général PALUKU KALWAGHE fut promu Monseigneur, il avait déjà ordonné des Révérends pasteurs parmi lesquels certains étaient ravis de leurs cols pastoraux pendant le conflit dans la C.B.K. La première consécration pastorale comportait des candidats à ordonner et Ces Révérends furent affectés aux différentes paroisses. L’Eglise évolua très bien.
Les jeunes gens et jeunes filles qui seraient baptisés en 1988 dans la C.B.K., empêchés par la fusillade, furent baptisés par Révérend Pasteur VUYINGO. Ce fut donc le tout premier baptême dans la C.E.B.A (Communauté des Eglises Baptistes en Afrique) à la Communion centrale de KATWA/VUKAKA, aujourd’hui Paroisse Principale Patriarcale de l’Eglise Evangélique du Rite Africain, des mariages furent aussi bénits.
Sous l’ombre de la CEBA
Eglise Evangélique du Rite Africain
Depuis 1976, Monseigneur PALUKU KALWAGHE avait toujours la conception d’ouvrir une nouvelle Eglise sans que personne ne le sache. Ce qui nous pousse de dire que la nouvelle Eglise était cachée dans l’enveloppe de la C.B.K et elle y sorti au cours de l’année 1988 avec l’ouverture de son compte bancaire dans la banque de commerce extérieur de Butembo.
En 1989, les adeptes de Monseigneur PALUKU KALWAGHE se réunissent avec lui pour l’initiation de l’EERA. Conformément à la loi de la République Démocratique du Congo, ils ouvrirent un compte bancaire à Butembo qui avait permit de débuter avec les activités de l’EERA. La tension étant grave sur terrain, et ayant vu qu’il avait des traîtres parmi ses collègues, le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE doutant d’instaurer directement l’Eglise Evangélique du Rite Africain.
Ainsi, il lança une demande d’ouverture de l’EPROBA CEBA chez l’Evêque KABWE KALEZA. Celui-ci répondu favorablement à la requête et l’Episcopat implanté à Katwa/Butembo fut reconnu officiellement par lui. Mgr PALUKU KALWAGHE fut nommé secrétaire Episcopal dans la province du Nord Kivu, en date du 18/07/1990.
L’Evêque KABWE KALEZA exigea à Mgr PALUKU KALWAGHE d’être en collaboration avec monseigneur KAMBALE KAHALIRO qui était son délégué épiscopale et représentant régional. Les mésententes naquirent entre ceux-ci, quand Monseigneur PALUKU KALWAGHE avait constaté que KAMBALE KAHALIRO qui collaborait avec ses opposants, l’Evêque KABWE KALEZA ordonna à ce deux de restaurer chacun son autonomie. Ce qui entraîna la démission de monseigneur KAMBALE KAHALIRO qui s’orienta dans d’autres fonctions. De son côté, Monseigneur PALUKU KALWAGHE restera comme délégué Episcopal au Kivu. Avec son courage, l’EERA envisagea un meilleur de devenir.
A l’assemblée générale qui se tenait chaque 5 ans à Lubumbashi, Mgr PALUKU KALWAGHE envoyait son beau fils MUHINDO NZAYI pour la représentation. Il prit ce dernier, comme son délégué Episcopal et lui devint vicaire général de l’EPROBA CEBA. NZAYI était donc reconnu ami fidèle de Mgr PALUKU KALWAGHE.
La concession de Katwa/Vukaka fut offert aux chrétiens grâce à l’intervention du chef de collectivité KIGHOMBWE et l’octroi du commissaire de zone avant la date du 24 mars 1991. Comme l’Eglise évoluait toujours, Monseigneur PALUKU KALWAGHE organisa la consécration des pasteurs. Ainsi, la deuxième consécration eu lieu dans de l’année 1992 après la conférence qui s’est tenue à Lubumbashi au mois de juillet en 1992.
Le 18 octobre 1992, après cette consécration des pasteurs, Mgr WASINGYA KALWAGHE Jean Huss entra dans la carrière ecclésiastique. En 1993, il fut nommé délégué épiscopal par Mgr PALUKU KALWAGHE et celui-ci lui octroya 6 mois d’essais.
Et l’EERA qui était couvert par le nom de l’EPROBA−CEBA devait s’épanouir et présenta dans peu des jours 130 paroisses. Quelques mois plus tard, la désobéissance s’observait dans la mission de Mr MUHINDO NZAYI. Ce qui provoqua sa destitution immédiate, Soutenu par la force des commerçants et certains fidèles, CE DRENIER s’était rendu à Lubumbashi chez KABWE KALEZA. Il voulait chercher les lettres d’implantation de la CEBA pour son propre intérêt. Mais, malgré ses démarches il n’avait pas trouvé aucune solution. Mgr KABWE KALEZA montant son opposition à Mgr PALUKU KALWAGHE, en écrivant plusieurs lettres et finira par donner un bref délai pour rétablir NZAYI dans ses fonctions sans aucune négociation et s’alliant à la C.B.K. Vu que la situation était insupportable, seul avec sa femme MASIKA SIVAMWENDA et son délégué épiscopal WASINGYA KALWAGHE se décidèrent de mettre à cours l’EERA qui était caché sous l’ombre de l’EPROBA−CEBA. Les documents sortirent immédiatement pour l’exécution qui était très urgente.
Les documents officiels de l’E.E.R.A furent approuvés par l’attestation de dépôt N° JUST 20/019/95 du 19 janvier 1995 de la deuxième direction chargée des A.S.B.L et cultes. Et approuvés par la région du Nord – Kivu par le rapport de viabilité N° JUST G.S/D.RNK/CA/01/95 du 31 janvier 1995 de Monsieur le chef de division de la justice et garde des sceaux. Le statut de l’EERA sortit aussi au cours de la même année. Comme la situation était très dangereuse, l’EERA se servirait d’une couverture pour se restaurer officiellement : sous le nom de « Communauté Episcopal Baptiste en Africain » qui est l’EPROBA−CEBA.
En 1996, l’EERA trouva son arrêté ministériel N° 1125/CAB/MIN/R.I.I G.S/96 du 13 décembre 1996. Après l’Eglise receva la lettre de Transmission pour l’obtention de la personnalité juridique. Dans l’actuelle République Démocratique du Congo, l’E.E.R.A est connue par la lettre de la justice et Garde des sceaux. Et l’E.E.R.A étant acceptée par le Gouvernement, son dossier a été transmis à la présidence de la République par la lettre du Ministre de justice pour l’octroi de la personnalité juridique № 184/2006 du 20 Juin 2006.
L’E.E.R.A comptait plus de 800.000 fidèles avec plus de 200 paroisses dispersées dans la province du Nord – Kivu et dans la province Orientale de la R.D.C. Ici nous sommes entre les années 1996-2000.
En 1991, l’Eglise Evangélique du Rite Africain (E.E.R.A en sigle) œuvrait sous couverture de la C.E.B.A ( Communauté des Eglises Baptistes en Africain).
En 1994, l’E.E.R.A remis les documents de la C.E.B.A à Lubumbashi. Quelqu’un peut se demander, comment se peut – il que la C.E.B.A existe encore ici en ville de Butembo, alors que ses documents aurait été remis ? Monseigneur PALUKU KALWAGHE avait été en conflit avec le délégué NZAYI. Ce conflit était dû à la mésentente au niveau de l’organisation de la communauté. Ainsi, NZAYI se rendit à Lubumbashi pour voir l’Evêque – Fondateur à l’insu de Mgr PALUKU KALWAGHE, et le conflit s’accentua.
EGLISE EVANGELIQUE DE RITE AFRICAIN
En date du 14/04/1994, L’EERA sorti de sous l’ombre et s’implanta sur le sol congolais. Ceci fut le fruit des recherches théologiques bibliques et culturelles évangéliques effectuées par Mgr Paluku Kalwaghe depuis l’année 1976.
C’est vraiment joyeux de voir comment une nouvelle Eglise indépendante entièrement Evangélique.
L’EERA évolua sans problème avec toutes ses stratégies historiques sans peur, car il avait bien traversé l’enveloppe de la C.B.K pour se trouver sous l’ombre de la CEBA pour apparaitre officiellement.
En janvier 1995, le révérend pasteur WASINGYA KALWAGHE et le révérend pasteur KAHINDO WALWUVA envoyés à Kinshasa par sa Béatitude Monseigneur Patriarche PALUKU KALWAGHE Représentant Légal de l’ASBL/EERA pour la mission de l’obtention des documents. Ces documents furent octroyés à Kinshasa le 19 janvier 1995 : l’attestation de dépôt du dossier d’une association sans but lucratif dénommée Eglise Evangélique du Rite Africain N° F. 92/3197 qui a été signé par le directeur chef de service chargé des cultes. L’EERA obtint aussi son arrêté N° 1125/CAB/MIN/RI.J & GS/93 le 13/12/1996 et transmit à la présidence pour l’obtention de la personnalité civile. Monseigneur Patriarche PALUKU KALWAGHE continuait à diriger l’EERA qui avait subit beaucoup d’intimidation. Et il a résisté comme les anciens prophètes de la Bible. Il commença à mener des démarches pour l’obtention des partenaires dans différents pays. L’arrêté provincial de l’EERA est sorti en date du 31 janvier 1995 et signé par la division provinciale du ministère de la justice et garde des sceaux.
Ses œuvres réalisées :
La création d’une Eglise sous la dénomination « Eglise Evangélique du Rite Africain » peut, pour d’autres gens, apparaitre comme un superflu parmi tant des sectes que l’on rencontre ici et là et en travers le Monde. Pas comme une Eglise, étant une secte basant ses fondements doctrinaux sur une poignée des versets bibliques mais sur l’entièreté de la Bible, en tant que parole révélée de Dieu. Le terme Rite Africain est ainsi évoqué dans cette nomination pour que Dieu soit célébré pour se comprendre dans le langage, rituel, liturgique (décors, instruments du culte même de l’Africain) sans pour autant africaniser ( faire parler de l’Afrique) la Bible … non … mais célébrer le culte dans les décors, l’ambiance, la chaleur, la fraternité et la joie d’être Africain. C’est cela que nous entendons par le rite africain. C’est pour dire, notre seule base, c’est la Bible : Mais cette Bible doit parler et s’adresser aux africains au niveau de leur compréhension, de leur joie et leurs souffrances;(inculturation).
Seulement en visualisant le contenu de l’Evangile que l’Africain sente Jésus, pas comme Jésus importé des Blancs mais Jésus venu pour tous et vivant même dans la vie quotidienne, malgré le moment difficile vécu.
cette Eglise dite Evangélique du Rite Africain est de quelle tendance : Protestante, orthodoxe, catholique,…laquelle ? Non, le premier mot l’indique :
Eglise comme un regroupement du peuple de Dieu confessant Jésus – Christ comme Seigneur et Sauveur du monde pécheur.
Evangélique : en tenant compte du milieu ambiant, des apports bénéfiques propres à l’Afrique, décors et autres pouvant rendre plus accessible et compréhensible cet évangile… aux Africains et ceux qui s’attachent aux trésors cachés par Dieu en Afrique évidemment en évitant tout abus de suprématiser la culture africaine sur l’Evangile.
Eglise guidée par l’Esprit de Dieu pour couronner non pas seulement les années de recherches de son initiateur ; PALUKU KALWAGHE, mais celles des grandes voix « des Grands Théologiens méritant d’éloges » dont nous nous réservons de citer ici. C’est pourquoi cette Eglise est :
Si le conducteur s’est fait ou a admis les titres (appellations) de :
En résumé, ces deux termes Patriarche et Archevêque puisent leur bien fondé dans la Bible même. En tant qu’Eglise Evangélique et c’est bien compréhensible dans sa logique, ce Patriarche – Archevêque en sa qualité du Représentant légal, c’est bien lui qui représente cette Eglise auprès de l’Etat.
L’Eglise Evangélique du Rite Africain croit à ceci :
ENSEIGNEMENT : L’Eglise Evangélique du Rite Africain croit à l’existence d’un seul Dieu unique, Créateur et Maître de l’univers, Roi des rois. Jésus Christ est le premier – Né Spirituel de Dieu, crée avant la fondation du monde. Il a été choisi par le Père pour être le champion de sa cause. Il est la 2e personne de la hiérarchie divine. L’Eglise Evangélique du Rite Africain croit à l’Esprit saint qui est le troisième personnage de la hiérarchie divine. Il joue le rôle important dans la sanctification de l’Eglise.
L’association a pour buts de :
L’E.E.R.A se donne pour devise : « POST TENEBRAS LUX ET DIVINA GLORIA » c’est-à-dire littéralement : « Après les ténèbres, la lumière et la gloire de Dieu brille. » ceci reste sans commentaire, ainsi l’A.S.B.L/EERA combat les ténèbres sataniques en travers le monde par l’Evangile pour que seule la lumière de Dieu brille.
Monseigneur Patriarche PALUKU KALWAGHE PERUSI, est l’initiateur de l’Eglise Evangélique du Rite Africain. Il est né dans une famille modeste mais chrétienne à Katwa, le 08 mars 1946. Son père KALWAGHE KISUMBA était maçon et sa mère KAHINDO KATSUVA vivait de l’agriculture ; heureuse mémoire.
Déjà à l’âge 4 ans, il suivit l’école maternelle à Katwa. Après satisfaction dans cette école, il poursuivit ses études primaires, toujours à Katwa de 1952 à 1960.
Comme d’habitude, après la 6ème année primaire la communauté devait recommander l’écolier pour le baptême. C’est est ainsi qu’il avait été baptisé à KATWA, le 19 avril 1956.
En 1961, il sorti de sa maison paternelle pour AUGWA dans l’actuelle province orientale (Kibati ITURI) dans le but de poursuivre ses études secondaires. Il s’inscrit dans une école des moniteurs. Dans ce milieu, il vécut une vie miséreuse car il était inconnu. Au cours de cette période, il eut une maladie et chômant au cours de l’année 1964-1965
En l’an 1967, il rentra au banc de l’école. Après son cycle d’orientation, Il est inscrit à l’Institut de MULO. Au cours de cette même année (1967) il se promena à BUNYAKIRI joyeux et plein d’allégresse d’être guérit de sa maladie.
Après cette guérison, PALUKU KALWAGHE Perusi reconnut la puissance divine et se décida de suivre Jésus-Christ et de travailler pour lui durant toute sa vie. Au cours de l’année scolaire 1967-1968, il retourna à MULO pour ses études. Et il devînt surnuméraire à l’école primaire de KATWA, de 1968 à 1969.
En 1968, il choisit MASIKA SIMWENDA comme son épouse et leur mariage fut béni selon le rite religieux à KATWA en date du 07 décembre 1968.
En 1969-1970, il travailla comme Directeur à l’école primaire de KITSOMBIRO. Et là, sa famille fut bénie ; ils eurent leur première fille au nom de Consolée KALWAGHE, en 1970.
Au mois de septembre de l’année 1970, il reçut une mutation disciplinaire à KYAMINDO. Il participa au concours des directeurs et après Satisfaction il fut admis comme directeur adjoint à l’école primaire de KATWA.
Le 20 septembre 1971, il devient directeur à l’école centrale de Katwa. Il avait assumé la même fonction dans d’autres écoles de la C.B.K. Dans son œuvre, il avait fait montré de sa ferveur et ouvrit 3 succursales dont BUTANDA, KIKYO et en ville de BUTEMBO
En 1973, il conclut une idée d’obtenir un diplôme d’Etat. Il fut autodidacte à l’institut MAPENDANO et obtînt sa pièce le 30 juillet 1973 avec 63%.
Le 02 juin 1971, Dieu lui donna le 2ème enfant qu’il nomma «La Grâce KALWAGHE ». Il l’appela ainsi, disait-il, car sa joie était de nouveau grande de ce que Dieu continue à faire dans sa vie. Il a vu que Dieu nous donne tout par grâce.
Le 03 juin 1973, toujours directeur à l’école primaire de Katwa, il se rendu à Bukavu en vue de disposer de nouveaux ses fiches car il était informé que son diplôme était perdu et il y sortit sans résultat. Mais rien n’empêcha, il reçut son diplôme entre ses main au mois de Févier au cours de l’année 1974.
Au matin du 28 décembre 1973, à 4h30’, Dieu leur bénissant avec le 3ème enfant à l’hôpital de Katwa. Ce fut un grand jour. PALUKU KALWAGHE le nomma WASINGYA KALWAGHE à savoir que Wasingya signifie «Merci » et Kalwaghe n’est qu’un nom de son père. C’est après cette naissance qu’il adressa ses vives remerciements en disant «Merci Seigneur notre Dieu de nous avoir donné le 3ème enfant de notre foyer». Puisse le Seigneur fasse de même pour qu’ils grandissent tous dans la foi en Christ, dans la persévérance du Saint-Esprit afin qu’ils travaillent pour l’épanouissement de l’Evangile et le bien de tous nos frères chrétiens voisins ou éloignes, partout dans le monde. WASINGYA KALWAGHE était choisi par Dieu lui-même et par ses parents.
PALUKU KALWAGHE et sa femme quand ils avaient 3 enfants, étant donné que la trinité est aussi composée de 3 personnes à Dieu. C’est ainsi qu’il bénissant son 3ème enfant WASINGYA KALWAGHE Jean huss qu’il restera le père des autres et père de la famille chrétienne et c’est lui qui rendra prospère l’Eglise du Christ : Ces paroles étaient dites et écrites à Goma au mois de Février 1974 quand il fut Représentant Légal de la C.B.K.
Au commencement d’une nouvelle vie, il fut nommé Représentant Légal 1ère suppléant de la C.B.K en date du 01 Février 1974. Il obtînt un grand poste plein des difficultés, une responsabilité qui déplaça son expérience et son savoir faire.
Dès son arrivée à Goma, un certain samedi le 09 Février 1974, PALUKU KALWAGHE commença une vie pénible car il était dans un milieu inconnu, homme qui venait de la brousse (un grand village de Katwa), timide, sans expérience et sans aucune amitié dans le monde nouveau, Il éprouva des difficultés du point de vu matériel, financier, social voire religieux. Malgré ces difficultés, il savait que seul le Seigneur combattra pour lui.
Le 07 août 1974, l’ex dirigeant de la C.B.K KAMBALE LUVUNDU lui adressa une lettre qui contenait des paroles choquantes. Mais Dieu continuait toujours avec son assistance.
Dieu les bénissant encore en leur donnant quatre enfants : la fille SIHALI KALWAGHE, le fils HATAVYA KALWAGHE et deux autres filles : EL-NURU KALWAGHE et VUTOKI KALWAGHE. Il eut Sept enfants parmi lesquels on a trois garçons et quatre filles.
En 1974, sa vocation au ministère pastoral avait été réalisée officiellement à la direction de la représentation légale de la C.B.K.
Au cours de cette même année, il mena des démarches pour la stabilisation de la C.B.K face à une guerre qui opposait celle-ci à la CEBCE. Grâce à l’intervention de Dieu, le Docteur BOKELEALE, Représentant de l’Eglise du Christ au Congo s’impliqua dans l’affaire pour mettre fin au conflit et la CBCE reprit sa figure. Mais les difficultés, dans la fonction de PALUKU KALWAGHE n’avaient pas cessé de s’accentuer. Une Eglise pauvre sans soutien des missionnaires, sans pasteurs consacrés ni théologiens, grâce à la force divine, au cours de 12 mois, PALUKU KALWAGHE s’efforça de réaliser 7 grands projets qui ont fait appel aux partenaires en provenance de Hollande (ADB) et d’Allemagne (VEM). Après la réalisation de ces projets, il a subit plusieurs terreurs criminelles de la part de ses collègues de service. Et ceci le poussa de démissionner et abandonne la fonction de la Représentation Légale de la C.B.K en la date du 25 février 1975.
Malgré sa démission, il ne s’était pas retiré de la C.B.K mais il avait senti un C.B.K qui engendra un tourbillon dans l’avenir.
En 1976, un certain lundi 02/02 il prophétisa le message suivant : « moi PALUKU KALWAGHE, représenterai l’Eglise réelle du christ au sein se cette communauté d’hommes et femmes qui se nomment baptistes au Kivu ». Il écrit «l’Etoile Noire ou le mal des baptistes»
Ici, noire traduit la médiocrité et les abus se trouvant au sein de cette communauté ; ces baptistes divisés contre eux-mêmes et qui, malgré cela et ceci se chantaient pleins et forts des vrais et irréprochables chrétiens.
PALUKU KAWAGHE continua : «En effet, l’étoile qui devait rester brillante et claire, elle est assombrie et noircie par le mal… le MAL DES BAPTISTES… Quel est ce mal ? Quelle a été la cause de son échec ? Est-ce sa médiocrité ? Et-ce quoi ? Et à qui la faute ? Puisque Dieu lui-même y intervient par sa pleine miséricorde. Puisque lui-même uni et ramène à la paix durable et sûre ces frères divisés. Puisque lui-même s’est choisi un nouveau Moise pour pouvoir diriger cette nouvelle communauté, se choisir un VRAI REPRESENTANT LEGAL… Vouloir et essayer d’écarter Dieu dans ce conflit… C’est creuser devant soi un grand gouffre de châtiment et de chute irréparable vis-à-vis de la justice divine, prions beaucoup pour ces baptistes ». Ce message est bien décrit dans le petit livre intitulé « Etoile noire ».œuvre posthume.
Ceci marqua le début de la conception de l’idée de la création d’une nouvelle église (l’Eglise Evangélique du Rite Africain) en 1976. Puis, il alla à Kinshasa poursuivre ses études en faculté protestante théologique pour le meilleur perfectionnement de ses recherches. Il fut comme Moise qui a été préparé par Dieu, loin de sa famille à Médiane pour être libérateur des enfants d’Israël. Exode 2 :5-23.
En arrivant à Kinshasa, lui qui était étudiant de la C.B.K, prépara d’autres affaires pour la gloire de Dieu. Il s’intéressa, dans ses études théologiques, à la théologie africaine pour chercher à déchirer l’enveloppe occidentale dans laquelle était affermée l’évangile qui avait été véhiculé chez l’africain pour les intérêts des occidentaux dans les différentes Eglises. A la faculté protestante de Kinshasa, il donna les grands facteurs aux paroles de plus de nuances sensibles qui caractérisaient l’Eglise Evangélique du Rite Africain.
Durant 5 ans, il avait approfondi ses études et ses intérêts personnels sur les sectes. Il avait moins des tenants, théologiquement et bibliquement, dans les sectes. Au même moment, sa méthode d’investigation était concentrée sur la communauté communément appelée Eglise indépendante. Ici alors, une chose approfondie attira sa grande attention : l’inspiration et le mobile premier de la création de celle-ci découlaient pour la plupart des cas d’une révélation divine et renouvelée en dehors de celle révélée par Jésus christ, aux grands sacrificateurs.
Le fondateur de cette Eglise, Monseigneur Patriarche PALUKU KALWAGHE parlait de Dieu qui s’est manifesté, d’une manière plus particulière à lui. Tout cela se passait avec beaucoup des miracles que Dieu avait opéré dans sa vie pour l’initiation d’une nouvelle Eglise. Ces choses attiraient beaucoup son attention : les travaux de colloques et les grandes discussions des théologiens africains sur ce qu’elle entrevoyaient, il avait essayé de se baser sur l’impacte qu’une culture donnée peut marquer sur l’Evangile en matière du langage rituel, liturgique, cérémonial sans se fier aux récepteurs du message. Ici, il expliquait comment et de quelles influences l’occident a imprégné l’évangile, en le transmettant à l’Africain (cas du zaïre….). Et c’était au cours de l’année 1976 qui marque la fondation de l’église Evangélique du Rite Africain car ses recherches constituaient une semence cachée dans le sol et qui devait nécessairement pousser de temps à autre.
Rappelons que Sa femme avait reçu aussi une attestation d’étude approfondit de 2 ans dans le domaine A.T., N.T., Education chrétienne, doctrine, Ethique Chrétienne, français, hygiène, art ménagère à l’institut Supérieur théologique de Kinshasa, à l’école des femmes, en date du 24/06/1979.
Revenu de Kinshasa, après ses études, il fut nommé aumônier à l’institut de Katwa et puis administrateur gestionnaire de l’Hôpital de Katwa. Grâce aux efforts qu’il a vait fournis, l’hôpital de Katwa fut financé par les différents organismes internationaux. Un peu après, il fut affecté comme pasteur paroissial de la C.B.K de KATWA. Dans la soif de comprendre le degré de la grandeur de l’enveloppe de l’occident pour la véhiculassion du message divin, il se fit inscrire à l’institut œcuménique de Bossey à Genève (Suisse). Pendant 6 mois, il suivait les études pendant la période d’hiver de l’année 1986-1987. Il obtint La Licence.
Toutes ces études contribuaient à l’épanouissement du chemin de ses recherches. Il continuait toujours à méditer longuement sur le fruit de ses études, ses recherches et ses réflexions sur l’Eglise et le Rite. S’il s’était retiré du protestantisme pour créer l’Eglise Evangélique du Rite Africain, il n’avait pas des ambitions personnelles ni « l’avis du pouvoir mais il avait voulu sortir de la léthargie théologique qui parlait toujours sans passer aux actions avec des multiples colloques sans concrétisation. C’était en date du 08/03/1987, qu’il arriva dans son village natal , KATWA et fut affecté à une paroisse de 16.850 adultes baptisés qui l’attendaient. Tout commença très bien avec les paroissiens et n’attardèrent pas à s’intéresser à l’ouverture œcuménique dont il leur démontrait et les initiaient à s’y appliquer pour vaincre à jamais ce que ses supérieurs qualifiaient douleurs acquits conservateurs et fondamentales inébranlables ».
Quand ses supérieures virent le nouveau langage œcuménique, ils l’obligèrent de cesser ; et vu qu’il n’y avait plus à perdre le temps avec ces visibilités « du prétendu conservatisme baptiste au KIVU ». Cette attitude poussant le Pasteur KAKULE MOLO à former une alliance avec MUHINDO TAMWASI, SIVAHESWA et les autres. Il(pasteur MOLO) se mit aussi en contact avec certains adeptes nommés « LAÏC » pour le soutenir dans ses exécutions de vouloir imposer sa dictature. Sa première mission accomplie fut celle de la fermeture de bureau de monsieur LUVUNDU. Ayant vu que le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE gagnait le succès, il l’écarta au lieu de le soutenir et chercha le moyen de l’arrêter. A cause de cet acte, les « LAIC » se révoltèrent et montrèrent au Révérend Pasteur KAKULE MOLO qu’ils n’étaient pas pour sa mission. Ce qui lui coûta cher.
La collaboration KAKULE MOLO, MUHINDO TAMWASI, SIVAHESWA
C’est ainsi, dès que le Révérend MUHINDO TAMWASI arriva à KATWA, vers fin août 1987, la machine-massacre contre le homme de Dieu PALUKU KALWAGHE fut mis en marche. Toutes les batteries furent allumées pour ne rien rater.
Au mi-novembre 1987, le révérend MAHUKA Mathe BULALO, Représentant Légal Suppléant de la C.B.K arriva à Katwa sans que le serviteur de Dieu PALUKU KALWAGHE soit averti, alors que c’est lui qui était le responsable de la paroisse de KATWA et qui devait organiser le service d’accueil avec les anciens. Ce fut un premier piège que le représentant Légal suppléant avait préparé avec SIHESWA et c’est là où il organisait tous ses programmes avec le commerçant sans pouvoir s’intéresser de ce qu’il y avait. « Pourquoi les biens de la communauté pouvaient être au pouvoir des commerçants ? » Sa réaction aux actes posés par le représentant Légal suppléant déclencha le coup préparé. L’homme de Dieu PALUKU KALWAGHE fut injurié et suspendu au ministère pastoral par une lettre dite « pastorale ». 5 jours après, il reçu la suspension aux fonctions d’administrateur gestionnaire de l’hôpital de Katwa.
Ayant vu que le suspendu n’était pas découragé,Mr KAKULE MOLO avec ses prophètes bibliques de la C.B.K (KAMBALE SIVAHESWA, KAMBALE MOLO, KAHINDO MUTAMO, MUHINDO TAMWASI,…) et leurs alliés s’organisèrent pour le faire périr car il n’a pas voulu être muter ailleurs. Ce qui provoqua un tourbillon au sein de la communauté. Les portes du temple furent bloquées par l’ordre du Docteur KAKULE MOLO malgré les supplications des chrétiens qui ne voulaient pas que le temple soit fermé.
Pour montrer leur colère, le 12 novembre1988, ses supérieurs ecclésiastiques ont réquisitionné un bataillon de militaires armés jusqu’aux dents qui tirèrent sur les chrétiens qui s’attendaient à l’ouverture des portes du temple à la paroisse de Katwa. On y trouva 2 morts sur place (MOISE et KATAKILI), 5 blessés grièvement et plusieurs blessés non identifiables. De son côté, on lui a perdu, ligoté et torturé pendant 6 heures de temps et fut libéré par Monseigneur KATALIKO de l’Eglise Evêque de l’Eglise Catholique. Puis, il fut jeté en prison de MUNZNZE à Goma, dans un ancien W.C non éclairé. L’emprisonnement fut de 175 jours.
Pour qu’il soit emprisonné, ses supérieurs lui avaient attribué le motif d’être le chef des rebelles qui avaient excité les fidèles de la C.B.K à la rébellion et à la désobéissance des autorités ecclésiastiques. Condamné à la cour d’appel de Goma par le greffier du siège MINAMI BORA-UZIMA, TSHIKELE et le Président LUNYANGU KANKU, grâce à l’intervention du Marechal président du Zaïre (actuel République Démocratique du Congo) dans sa lettre du 03/10/1989 vu son innocence ,Il fut libéré.
Malgré cette libération impérative, le 21/03/1991, ses mêmes supérieurs ont fait ordonner aux militaires de tirer sur le domicile de l’homme de Dieu PALUKU KALWAGHE et toute sa famille (sa femme et ses 7 enfants) furent tabassé et torturés.
Bilan: 2 morts (Paul MUPISHI KYANAMIRE et KISASA) maisons brûlées et dégâts matériels inestimables. Puis très sérieusement, il fut jeté en prison jusqu’à l’intervention de Monsieur le Gouverneur KALUMBO MBOGHO de la région du Nord−Kivu en date officielle du 12/01/1992.
Monseigneur Patriarche PALUKU KALWAGHE a rendu l’âme un jour après la dernière consécration qui avait eu lieu le 15 novembre 1998 donc le 16 novembre 1998. Aujourd’hui son corps se repose dans le mausolée à KATWA/VUKAKA au Patriarcat d’Afrique. Après sa mort, il avait été succédé par son fils Monseigneur Patriarche WASINGYA KALWAGHE Jean Huss en date du 19 novembre 1998. Il continua avec les bonnes œuvres.
Monseigneur WASINGYA KALWAGHE est le deuxième Patriarche-Archevêque, Représentant Légal de l’A.S.B.L/EERA. Troisième fils du Feu Patriarche-Initiateur, PALUKU KALWAGHE et de MASIKA SIVAMWANDA Faisi, WASINGYA KALWAGHE est né à Katwa, en date du 28 décembre 1973 et mort le 30 octobre 2009. Après ses études primaires respectivement à Kinshasa et à l’école primaire d’application/ Katwa, il est inscrit à l’Institut KIRIMAVOLO où il ne fera qu’une année. Ainsi il ira se faire inscrire à l’Institut VUNGI, puis à l’institut WAPOLE. Apres WAPOLE, il fréquente l’institut KAVANGO appelé aujourd’hui MAPENDO comme autodidacte régulier, et décroche son diplôme d’Etat en 1997. Avant la mort de son père, il était son envoyé spécial. Voire c’est lui qu’on envoyait à Kinshasa pour les démarches de l’obtention des documents officiels de l’E.E.R.A.
Marié à KAHINDO MUMBERE Orelie le 18 octobre 1992 à MUTIRI pour être consacré le même jour comme Révérend Pasteur. Il est l’Initiateur de la chorale EL−SALEM qu’il laissa entre les mains de KAMBALE KIKWAYA Lemba pour devenir Révérend Pasteur responsable de la communion Episcopale de VULUMBI, aujourd’hui SUPRA-PAROISSE DE VULUMBI. Il sera muté à la Communion Centrale de Vukaka, aujourd’hui Paroisse Principale Patriarcale.
En fin, il sera muté à MUTIRI d’où il sera appelé pour épauler son Père au Patriarcat d’Afrique tout juste quelque deux semaines avant sa mort. Prenant la parole, Mgr WASINGYA KALWAGHE en s’adressant aux fidèles le tout premier jour comme Patriarche, tous les fidèles ont été satisfaits de son premier message après la mort de son père et voici un extrait de son discours «Chers Chrétiens, fidèles de l’EERA, malgré la disparition du Patriarche PALUKU KALWAGHE, initiateur de cette Eglise, nous savons qu’avec Dieu qui a fait que cette Eglise soit ce qu’elle est aujourd’hui, tout ira bon train si nous persévérons dans la prière. Ne nous décourageons point. Prions Dieu jour et nuit ; avec lui, nous ferons des exploits »
Comblé de grâce divine, après la mort de son Père, WASINGYA KALWAGHE continue favorablement avec l’initiative de ce dernier. Avant qu’il n’assume la représentation légale de l’E.E.R.A, il avait déjà 6ans d’ancienneté dans le service pastoral. Sa vision est la continuation et la réalisation de l’œuvre initiée par l’Initiateur de l’Eglise et l’implantation de l’église à l’extérieur du Pays sur la face africaine et mondiale, nouer les relations avec les partenaires étrangers ; favoriser l’Eglise à retrouver d’autres documents officiels.
A son époque, au lieu de 140 paroisses, l’Eglise comptait plus ou moins 200 paroisses déjà enregistrées au bureau patriarcal. Beaucoup d’œuvres grandioses avaient été réalisées sous la direction de son Excellence Monseigneur Patriarche WASINGYA KALWANGHE Jean Huss, Représentant légal de l’A.S.B.L/E.E.R.A. Mgr Patriarche WASINGYA KALWANGHE avait eu 8 enfants (EL AMAR KALWAGHE Elie, EL SHAMIR KALWAGHE Josué, EL DABER KALWAGHE, EL YAM KALWAGHE, EL FAREL, EL HOD, EL LAZARIESE KALWAGHE, EL LAZARE KALWAGHE) dont 7 Garçons et 1 Fille (morte) et parmi ces garçons 6 sont vivants (1 mort). Le deuxième fils de Mgr Patriarche WASINGYA KALWAGHE est l’actuel Patriarche Archevêque EL SHAMIR KALWAGHE Josué qui continu avec les œuvres. Nous ne saurions clore cette page sans pouvoir citer ces projets très importants réalisés sous la houlette de son Excellence Monseigneur Patriarche WASINGYA KALWAGHE Jean Huss pendant les années de son leadership. Ils sont les suivants :
Licencié en Théologie, Sa Béatitude Monseigneur Patriarche WASINGYA KALWAGHE avait traité les sujets : La place du temple chez les noires et La place du noir dans la Bible respectivement travail de fin d’études et mémoire.
Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué, deuxième fils de Sa Béatitude Monseigneur Patriarche WASINGYA KALWAGHE. Est né à Vukaka le 06 décembre 1994. Sa mère s’appelle KAHINDO MUMBERE Orelie.
Plein d’onction divine, dés son enfance, Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué a grandi très calme et sage. Baptisé à l’âge de 13 ans, quelques années après, il est consacre Révérend Pasteur en date du 4 Février 2007 et élevé au rang de Monseigneur évêque le 16 janvier 2008 par son père qui ne cessait de lui prodiguer des conseils et l’initier au service de l’Eternel comme. Comme Dieu est le même, hier, aujourd’hui et pour toujours, continua à opérer des miracles a notre égard, toujours prés des ses enfants. Il se manifeste à travers ses serviteurs, petits ou grands.
Appelé à servir Dieu, Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué devient Représentant légal de l’EERA malgré son âge. Trois jours après que son père, WASINGYA KALWAGHE, ait quitté la terre, Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué est confirmé Monseigneur Patriarche en date du 2 novembre 2009 en présence de tous les fidèles de EERA et les fidèles d’autres confessions religieuses Chrétiennes qui avaient participé au culte du lever de deuil de Monseigneur Patriarche WASINGYA KALWAGHE.
Dans son dévouement et son savoir-faire, le Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué est en train de servir Dieu de tout son cœur, de toute se force et de toute son âme. Avec le soutien des fidèles de l’EERA et les autres, plusieurs œuvres sont en train d’être réaliser sous le leadership du Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué.
Parmi tant d’autres citons :
Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué à fait ses études : l’école primaire Nyota ya Asubui, l’institut Nyato ya Asubui et institut Shalom 2011−2012. Il est maintenant gradué en Théologie à l’Université Divina Gloria Butembo. Apres avoir défendu son travail de fin d’études partant sur : le Problématique de la croyance à Dieu des ancêtres Nande et l’élan de l’évangélisation en Afrique. Il a réellement convaincu les Professeurs eten presence d’autres autorites tant religieux que politico-administratives en démontrant ce dont il capable sous les applaudissements de tous les participants de la défense ou soutenance en cette année académique 2014−2015. La poursuite du second Cycle est sa grande préoccupation et voire aller de l’avant.
Monseigneur Patriarche EL SHAMIR KALWAGHE Josué reste encore le plus jeune de tous les dirigeants des Eglises partout au monde, mais avec des grandes réalisations parce qu’il place toute sa confiance à Dieu le Tout Puissant. Avec son esprit d’écoute, il se dit prés à travailler avec toute personne sans distinction des races, communauté, confessions religieuse,… dans le but de transformer le monde par l’Evangile. Et redonner de l’espoir aux vulnerables en travers ses differentes activités.
Si vous êtes intéressé par un moyen plus pratique de donner des actifs appréciés, matériels, envisagez de donner en entrant en contact avec nous. Pour plus d’informations, ou pour obtenir de l’aide sur la manière de donner, contactez-nous.
La direction de l’EERA vous invite pour célébrer ces journées et événements marquants.
Visionnez nos Réalisations et Projets en images et vidéos. Nos Activités sont présentes partout au monde.
Si vous êtes intéressé par un moyen plus pratique de donner des actifs appréciés, matériels, envisagez de donner en entrant en contact avec nous. Pour plus d’informations, ou pour obtenir de l’aide sur la manière de donner, contactez-nous.
La direction de l’EERA vous invite pour célébrer ces journées et événements marquants.
Visionnez nos Réalisations et Projets en image. Nos Activités sont présentes partout au monde.
Recevez nos actualités directement par email.
Addresse: RDC, Nord-Kivu, Butembo, Com. Mususa, Cell Vukaka
Tel: +243999085392
Mobile: +243822257513
Email: [email protected]
Copyright © 2021 E.E.R.A. Développé par Sadja WebSolutions
Copyright © 2021 E.E.R.A.
Développé par Sadja WebSolutions